AMALYA Illustration

Illustration, sculpture

Norman Rockwell aurait dit :

«Ma vision de la vie, celle que je communique à travers mes illustrations, exclus le sordide et le laid. Je peins la vie comme je voudrais quelle soit.»

Edgar Allan Poe quant à lui, aurait énoncé ces mots :

«Ceux qui rêvent éveillés ont conscience de mille choses qui échappent à ceux qui ne rêvent qu’endormis. »

J’aime beaucoup ces deux citations, car si elles ne décrivent pas mon travail, elles le nourrissent. Sans propositions idéologiques précises, mon art ne sert à rien. Il n’a aucunes prétentions, si ce n’est celles communes a toutes rêveries. Dans le fond, il ne s’agit rien d’autre que d’un regard posé sur de petites choses anodines qui se montrent et se racontent ouvertement pour peu qu’on s’y attarde.

Absolument décidée à ne pas trop grandir le dessin et la peinture ont été les vaisseaux libres de mes pensées, de mon évasion.

Après avoir étudier l’art de l’illustration à L’Académie des Beaux-Arts, j’alimente peu à peu mon univers, fait de figures féminines, d’ animaux étranges, à l’attitude empreinte de sagesse et de malice enfantine. Plaçant la liberté au dessus de tout, je touche à la bande dessinée, à l’illustration, à la peinture. Inspirée tout autant par les contes de fée de notre enfance, que par l’art nouveau de Klimt ou Mucha.

C’est mue par ce besoin de liberté qu’aujourd’hui, je me consacre à une série d’ouvrage plus personnel en tant qu’auteur et illustratrice, en auto-édition. Tout d’abord avec la sortie de deux carnet de coloriage entièrement réaliser localement, illustrations, impressions, reliures, etc.

Je n’ai qu’une envie m’évader dans cet ailleurs ou je me sens si bien, un ailleurs fait de fantasque de grotesque et de folie ou la gravité et la peur ne serait plus qu’un nouveau prétexte,; la promesse d’un nouveau voyage. J’ai juste envie de donner à voir le beau et la fantaisie qui nous sont trop souvent refusés dans un quotidien si terre à terre, trop attaché au matériel. Je voudrais tant peindre la vie comme j’aimerais qu’elle soit, apurée de la noirceur de notre système. Telle que je la vois les paupières closes.

Amalya Illustration

Toutes les réactions :

Norman Rockwell aurait dit :

«Ma vision de la vie, celle que je communique à travers mes illustrations, exclus le sordide et le laid. Je peins la vie comme je voudrais quelle soit.»

Edgar Allan Poe quant à lui, aurait énoncé ces mots :

«Ceux qui rêvent éveillés ont conscience de mille choses qui échappent à ceux qui ne rêvent qu’endormis. »

J’aime beaucoup ces deux citations, car si elles ne décrivent pas mon travail, elles le nourrissent. Sans propositions idéologiques précises, mon art ne sert à rien. Il n’a aucunes prétentions, si ce n’est celles communes a toutes rêveries. Dans le fond, il ne s’agit rien d’autre que d’un regard posé sur de petites choses anodines qui se montrent et se racontent ouvertement pour peu qu’on s’y attarde.

Absolument décidée à ne pas trop grandir le dessin et la peinture ont été les vaisseaux libres de mes pensées, de mon évasion.

Après avoir étudier l’art de l’illustration à L’Académie des Beaux-Arts, j’alimente peu à peu mon univers, fait de figures féminines, d’ animaux étranges, à l’attitude empreinte de sagesse et de malice enfantine. Plaçant la liberté au dessus de tout, je touche à la bande dessinée, à l’illustration, à la peinture. Inspirée tout autant par les contes de fée de notre enfance, que par l’art nouveau de Klimt ou Mucha.

C’est mue par ce besoin de liberté qu’aujourd’hui, je me consacre à une série d’ouvrage plus personnel en tant qu’auteur et illustratrice, en auto-édition. Tout d’abord avec la sortie de deux carnet de coloriage entièrement réaliser localement, illustrations, impressions, reliures, etc.

Je n’ai qu’une envie m’évader dans cet ailleurs ou je me sens si bien, un ailleurs fait de fantasque de grotesque et de folie ou la gravité et la peur ne serait plus qu’un nouveau prétexte,; la promesse d’un nouveau voyage. J’ai juste envie de donner à voir le beau et la fantaisie qui nous sont trop souvent refusés dans un quotidien si terre à terre, trop attaché au matériel. Je voudrais tant peindre la vie comme j’aimerais qu’elle soit, apurée de la noirceur de notre système. Telle que je la vois les paupières closes.

Amalya Illustration

Toutes les réactions :

Norman Rockwell aurait dit :

«Ma vision de la vie, celle que je communique à travers mes illustrations, exclus le sordide et le laid. Je peins la vie comme je voudrais quelle soit.»

Edgar Allan Poe quant à lui, aurait énoncé ces mots :

«Ceux qui rêvent éveillés ont conscience de mille choses qui échappent à ceux qui ne rêvent qu’endormis. »

J’aime beaucoup ces deux citations, car si elles ne décrivent pas mon travail, elles le nourrissent. Sans propositions idéologiques précises, mon art ne sert à rien. Il n’a aucunes prétentions, si ce n’est celles communes a toutes rêveries. Dans le fond, il ne s’agit rien d’autre que d’un regard posé sur de petites choses anodines qui se montrent et se racontent ouvertement pour peu qu’on s’y attarde.

Absolument décidée à ne pas trop grandir le dessin et la peinture ont été les vaisseaux libres de mes pensées, de mon évasion.

Après avoir étudier l’art de l’illustration à L’Académie des Beaux-Arts, j’alimente peu à peu mon univers, fait de figures féminines, d’ animaux étranges, à l’attitude empreinte de sagesse et de malice enfantine. Plaçant la liberté au dessus de tout, je touche à la bande dessinée, à l’illustration, à la peinture. Inspirée tout autant par les contes de fée de notre enfance, que par l’art nouveau de Klimt ou Mucha.

C’est mue par ce besoin de liberté qu’aujourd’hui, je me consacre à une série d’ouvrage plus personnel en tant qu’auteur et illustratrice, en auto-édition. Tout d’abord avec la sortie de deux carnet de coloriage entièrement réaliser localement, illustrations, impressions, reliures, etc.

Je n’ai qu’une envie m’évader dans cet ailleurs ou je me sens si bien, un ailleurs fait de fantasque de grotesque et de folie ou la gravité et la peur ne serait plus qu’un nouveau prétexte,; la promesse d’un nouveau voyage. J’ai juste envie de donner à voir le beau et la fantaisie qui nous sont trop souvent refusés dans un quotidien si terre à terre, trop attaché au matériel. Je voudrais tant peindre la vie comme j’aimerais qu’elle soit, apurée de la noirceur de notre système. Telle que je la vois les paupières closes.

Amalya Illustration


Salle Emile Colpin
Rue des Trous, 2
4260 Fumal